dimanche 27 juillet 2014

- THE RAID 2 -



THE RAID 2 - Gareth Evans - Juillet 2014

Encore une histoire qui commence dans une prison, mais qui cette fois en sort bien vite. Enfin au bout de 2 ans quand même.

Rama, qu'on voyait sortir de l'immeuble infesté de junkies et mafieux indonésiens après leur avoir tous défoncer la gueule à la fin du premier volet, est forcé cette fois d'aller en prison pour faire copain copain avec Uco, le fils du parrain de la pègre, Bunwai. Pour tuer ce fameux Bunwai justement. Déjà que cette histoire est pas toute simple d'entrée, les choses ne se passent pas comme prévu, et là ça devient vraiment compliqué. Et alors pour caler tout ce merdier entre les longues scènes de baston (parce que c'est quand même plus un film de baston qu'un thriller) , avec tout les bras droits, lieutenants et autre larbins propres aux récits de guerres de gangs, il faut avouer que ça foire un peu.

Alors je vais dire un truc après c'est vous qui voyez: On s'en fout. On veut voir plus de ces fameuses scènes de baston à la fois réalistes et extrêmes, avec le soupçon de gore qui fait bien, qui avaient fait le succès de The Raid. On veut en voir et là faut dire qu'on en a. Plus que jamais ça mitraille, ça se jette de caisse en caisse, ça explose des crânes, ça use de toutes sorte d'armes extravagantes (batte, machette, marteaux, balai!)... En plus de ça Evans essaie de donner une vraie atmosphère à son film, qui, bien que lorgnant bien fort sur Winding Refn avec ses longs couloirs rouges et ses néons, parvient à donner un identité propre au film.

Mention spéciale aux personnages de Hammer Girl et Base Ball Bat Man qui ajoutent un côté bien fun, à la manière d'un anim sanglant, au tout. D'ailleurs tous les persos pourraient être dans une BD. A la base je voulais dessiner les robots de Transformers 4, mais en sortant de The Raid 2 j'ai changé d'avis direct. J'ai échangé les moteurs sans âme de Bay contre les gerbes de sang habitées de Evans sans hésitation. Alors certains diront qu'il vise trop haut et essaie de donner une profondeur à son film en partant dans tous les sens et blablabla. Mais encore une fois on s'en fout. Rien que pour la première grosse scène de combat dans la cour de la prison durant laquelle on voit s'affronter geôliers et détenus dans la boue et sous la pluie battante, où tous les corps ne se résument plus qu'à des amas de terre glaise, des golems s'affrontant dans une enceinte béton avec une rage folle. Dantesque.

Voilà, moi qui ne suis pas fan de films d'action j'ai été emballé, gros coup de kiffe. J'espère que ce sera le cas pour vous aussi.

Xoxo Norz.




- L'Autre Film de la Semaine -



lundi 21 juillet 2014

Wild At Heart



''Un jour j'ai cherché à voir quel était la chose que nous faisons tout au long de notre vie, la réponse a été simple à trouver: aimer. On commence tout d'abord par éprouver de l'amour pour le membre de notre famille, puis un jour on rencontre 1 personne qu'on aime comme un ami, puis enfin on rencontre cette personne qu'on aime de toute notre être. En résumé nos vies sont cernés par l'amour.''

http://s-s-love-bbey.skyrock.com/

Un peu de sweet, avec une peinture inspirée de l'affiche de ''Sailor & Lula'', en mode affiche ghanéenne un peu, et la suite des aventures de Baboune & Simoune. Je vous laisse je dois passer à Bershka, j'ai vu un joli haut peace encore en reduc là-bas.

x Love in Summer x

Norzinite Acide.



jeudi 17 juillet 2014

- COLDWATER -



COLDWATER - Vincent Grashaw - 2014

    Ce film propose une immersion dans un camps de redressement pour mineurs au states. On suit le parcours de Brad qui y est envoyé pour on ne sait quelle bêtise par sa mère dès le début du film, et découvre ce coin paumé  dans la forêt où les ''instructeurs'' ont tous les droits comme on se prendrait 1000 parpaings dans la race. Tabassage, humiliation, travail forcé, le tout sous un soleil sans pitié. L'histoire est peut-être trop simpliste mais reste plutôt réaliste. Sa force est d'ailleurs de se baser sur une histoire vraie, ce qui peut ne pas être évident à la vu de la fin du film assez extrême. 
    
    Truc à part, je soupçonne le réalisateur d'avoir pousser son acteur principale à la chirurgie esthétique tant ce dernier ressemble à Ryan Gosling. Apparemment il faut une tête de Ryan Gosling pour jouer le dur en souffrance, je note. 
    
    On souffre avec le héros, on déteste ses geôliers, et pourtant l'effroyable scène finale sait redonner une touche de nuance à ce récit parfois un peu trop noir et blanc. En résumé à part un léger manque de prise de risque, un peu trop de pathos (avec l'histoire Brad un peu inutile), et un peu trop de manichéisme, ça claque bien, c'est plutôt propre, et sale aussi avec la sueur, la poussière, les acariens et tout les autres trucs un peu sales; la musique est cool, les acteurs, la plupart inconnus, sont cools. Et voilà. C'est dur mais c'est cool.

J'essaierais de faire quelques articles comme ça pour les films que j'aime bien. Peut-être que ce serait mieux sous forme de blog que sur les films mais nique. Bises.

Marshall Norz. 



L'Autre Film de la Semaine

jeudi 10 juillet 2014

Baboune & Simoune, les coquins clubbers






Alors je suis beaucoup sur les oiseaux car, je trouve leur plumage assez compliqué à réaliser. Mais je pense me remettre aussi aux fleurs et aux bâtiments en perspective
J'ai la grosse flemme en ce moment, c'est trop bête, parce que j'ai plein de trucs en tête. Je suis plutôt portraits en ce moment, et je voulais faire Katy Perry dans la chanson The One that Got Away, que j'adore. Sinon rien à voir, je voulais aussi faire le portrait de Henri III, un de mes rois préférés de France lol^^
J'ai trouvé quelques modèles de mangas pas mal aussi.
 
 
Là c'est du carnet. Avec une affiche en featuring avec Dizzy B, la grande soeur de La Fouine Fouiny Babe :  http://daisycor.blogspot.fr/ 
Et juste après l'affiche, 2 strips de Baboune & Simoune, les coquins clubbers.

Malbuena Norz Mama